Étiquette : article

Il a été dit : tu n’y arriveras jamais…
Et pourtant, mon histoire prouve que tout est possible et qu’il est impossible d’empêcher une personne déterminée.

Je suis Romain Borlet.
J’ai beaucoup marché et je suis devenu un autre homme. Nul ne saurait me reconnaître et je ne reconnais personne.

J’ai beaucoup étudié aussi.
Et depuis mon Éveil spirituel, je me suis sans cesse demandé comment m’améliorer.
J’ai travaillé sur moi-même.
C’est une vérité, mais qu’est-ce que cela signifie ?

Personnellement, j’ai commencé par changer mes croyances. Je ne croyais en rien. Désormais je crois en Tout.

Puis j’ai cessé de boire de l’alcool, car les autres me supportent très mal avec un litre de whisky dans le sang…

Je me suis excusé auprès de et puis j’ai pardonné ma mère, mon père, ma famille, mes amis, et surtout mes ennemis, et enfin moi-même. Car j’ai compris que tout vient de moi-même.

J’ai vécu la pauvreté et la misère, alors j’ai souhaité la richesse dans mon cœur et la solidarité avec autrui.
J’ai vécu les ténèbres, et j’ai souhaité la Lumière.

J’ai été voir à l’intérieur, et j’ai découvert un être fragile qui a besoin de moi.

J’ai étudié et encore étudié car je voulais comprendre… J’ai tout étudié sans relâche jusqu’à me trouver.

Je Suis…

J’ai cherché pourquoi la jalousie, pourquoi le sentiment d’abandon, qu’est-ce que l’ego, qu’est-ce que le soi, qu’est-ce que le moi ?
J’ai encore cherché pourquoi l’être humain, pourquoi l’Univers, pourquoi je suis et pourquoi Nous sommes ?
J’ai cherché mes réponses dans la psychologie, la psychanalyse, la psychiatrie, la philosophie, la mythologie, la spiritualité, la religion, et l’hermétisme…
Et je n’ai trouvé que moi-même.

J’ai compris que ma force, je la tire de mon Nombre, de mon Soi supérieur.

Alors, j’ai cherché ce que je dois faire ? Quel est mon but ? Ma destinée ? Ma mission sur la Terre ?

Et j’ai compris qu’il s’agit simplement d’aider mon prochain à aller vers davantage de Lumière.

J’ai donc essayé de réveiller tout le monde, seulement, je n’avais pas encore compris que chacun va à son rythme sur son propre chemin…

Alors, je me suis demandé comment j’avais fait pour m’éveiller… La réponse est évidente : j’ai obtenu de vraies informations au bon moment.

C’est pourquoi, je me suis décidé à créer un site internet sur lequel chacun pourrait trouver de vraies informations.

J’ai donc lancé mon projet sans y connaître grand chose. J’ai donc étudié et encore étudié : comment créer un site web ?
J’ai essayé, j’ai tâtonné et j’y suis arrivé.
Il faut savoir tout faire sinon il faudrait délégué…

J’ai commencé par chercher un nom. J’ai opté pour The Troble Investigation. Pourquoi ?
Car j’ai fait un anagramme avec mon nom de famille : Borlet = Troble.
Et puisque je souhaitais faire un journal, j’ai décidé d’ajouter The devant le nom. Mais ma question suivante allait encore modifier le nom du site…

Comment se faire référencer par Google ? J’ai essayé, j’ai tâtonné et j’y suis arrivé. Seulement Google préfère un nom avec de nombreux caractères.

The Troble Investigation était né.
J’ai donc commencé à écrire des articles sur la spiritualité et à lancer des pages en rapport avec mes passions.

Mon don pour l’écriture m’a toujours incité à écrire de la poésie, et c’est pourquoi j’ai créé une page dédiée à la poésie spirituelle.

Il me fallait encore un concept. La spiritualité ouvre l’esprit, met en émoi et relie la Terre et le Ciel. J’ai donc décidé d’inclure cela dans mon site.
Et j’ai choisi un concept basé sur l’information qui nous trouble.

Enfin, j’ai toujours vécu la bohème (sans futur et peu d’argent), alors je me suis demandé comment me stabiliser et comment me financer ?

J’ai donc récemment demandé la femme de ma vie en mariage, et j’ai lancé une boutique sur mon site.

Et j’ai recommencé à chercher : que faut-il pour se marier ? Comment créer une boutique en ligne ?

Je me suis dit : persévère.
J’ai toujours aimé les pierres semi-précieuses et je suis doué pour confectionner des bracelets, alors j’ai décidé de commencer par là.

En effet, tous les bracelets se trouvant sur la boutique sont confectionnés par mes soins.

The Troble Investigation est donc opérationnel.
La boutique fonctionne avec des paiements sécurisés et chaque jour de nouveaux articles seront ajoutés.

Pour information, les catégories des articles de la boutique sont vouées à évoluer : il y a donc les bijoux en pierres semi-précieuses, et les articles de divination, t avec le temps, il y aura également les articles liés à la méditation, aux cosmétiques naturels, et différents accessoires, notamment pour le bien-être, le Yoga ou encore la sorcellerie blanche ; enfin dans une section pour le téléchargement, il y aura mes livres sur le développement personnel et mes recueils de poésies spirituelles.

Je travaille toujours à l’heure actuelle sur la création officielle de ma société The Troble Investigation. (De nombreuses démarches administratives à effectuer… Parfois ennuyeux, parfois passionnant).

Mon secret : déterminé et perfectionniste.

The Troble Investigation est voué à devenir une véritable entreprise et le but est d’informer le monde, alors toutes personnes de bonnes volontés est appelées à me rejoindre.

Il y a encore de nombreux articles à écrire sur l’information qui nous trouble. Vous êtes les bienvenues pour écrire l’histoire de The Troble Investigation.

Romain Borlet pour The Troble Investigation

Les êtres qui travaillent sur eux-mêmes ont souvent de bonnes périodes créatives et d’autres plus médiocres…

Nous pouvons l’expliquer : c’est parce qu’il faut plonger dans les profondeurs pour pouvoir atteindre le Ciel, c’est un véritable travail sur soi-même que de passer de la dépendance à l’indépendance. Ce qui a tendance à provoquer des montagnes russes émotionnelles. Il convient de les accepter, et de profiter des bonnes périodes et de travailler sur les périodes plus difficiles (le but étant l’amélioration globale et durable.)

En effet, nous pouvons constater que nous sommes presque tous dépendants d’une ou plusieurs choses… Ou d’une présence.

Les dépendances peuvent prendre de nombreuses formes : ce peut être une dépendance envers un ou plusieurs produit(s), ce peut être une dépendance envers une personne ou une présence, ce peut être une dépendance envers un objet, des objets, un lieu, ou même à un traitement (dans le sens : dépendance d’être traité de telle ou telle manière), enfin, nous sommes dépendants d’une forme de trinité qui se compose ainsi : notre caractère, nos habitudes et notre manière de penser ; c’est cette trinité qui influence nos actions.

D’un point de vue ésotérique, les dépendances sont régies par Lucifer, comme tout ce qui nous lie à la Terre, et la faim est comme un cri du porteur de Lumière, qu’il s’agit de toujours satisfaire.

L’habitude amène à la dépendance. L’habitude peut être changée, mais la dépendance risque de seulement changer de forme.

C’est pourquoi le combat n’est pas aisé. Il convient de faire preuve de persévérance et de volonté, mais seulement ça ne suffit pas, car il faut avoir un objectif : celui de voir naître une nouvelle personne devenue indépendante, fière et épanouie.

C’est en se rêvant, en s’imaginant, en se visualisant, libres et sains que nous le devenons effectivement.

Combattre les mauvaises habitudes est nécessaire, tout comme de travailler l’estime de soi, alors que de se voir déjà accomplit est ce qui rend la chose possible.

Les dépendances sont multiples, seulement, elles fonctionnent toutes de la même manière : toutes sont des formes de faim. La faim est psychologique et émotionnelle.

C’est par la reproduction de la sensation de faim qui se mue en manque que nous expérimentons le fait d’être dépendant, parfois consciemment, et nous abandonnons de l’estime de soi, en acquiesçant devant Lucifer qui trouvera toujours le moyen de nous mettre en situation de satisfaire notre dépendance juste pour pouvoir nous regarder gémir lorsqu’il aura décidé que l’heure est au jeun.

Vaincre Lucifer, c’est parcourir, pendant 40 jours, le désert, avec Jésus (c’est-à-dire avec soi-même) et de démontrer à Lucifer (c’est-à-dire des parties de soi-même) que nous sommes issus de l’Unité et que nous souhaitons donc rester, sains de corps et d’esprit.

Jésus utilise les versets des textes sacrés pour contredire les affirmations et propositions du démons ; quant à nous, nous pouvons utiliser des affirmations en rapport avec notre objectif.

Comment serais-je lorsque je serai totalement libre et sain ? Imaginons un autre présent.

Romain Borlet

Dans la vie, il vaut mieux avoir des connaissances et être plus rusé que la nature.
C’est une chose qu’il est bon d’enseigner aux enfants.

Dans la vie, rien n’est acquis et même celui qui est aisé peut tout perdre et en plus, il est responsable de sa chute, dit-on.

Un jeune homme a tout perdu. Il se nomme Steven, vient d’avoir 16 ans, il est encore candide, et devra compter sur ses capacités et ses connaissances pour survivre. Un tremblement de terre vient d’emporter la maison où il vit et il ne sait où se trouve sa famille. Il n’a plus de moyens de communication et la zone qui a déjà été évacué le laisse dans la solitude.

Il commence d’abord par errer à la recherche des secours mais il finit par se perdre dans son propre quartier qui ne ressemble plus à rien de ce qu’il a connu. L’obscurité couvre bientôt les lueurs du jour et le jeune homme se demande où il pourra dormir en sécurité. Il n’ose pas s’aventurer dans une maison car il craint qu’elle finisse par s’écrouler comme la maison de ses parents.

Alors, il se met en quête d’un abri. Son père lui a appris que les nuits sont fraîches dehors et qu’il vaut mieux se trouver dans un endroit sec, et chaud.

Il construit un bivouac pour la nuit comme quand il allait avec son père en week-end à la pêche en rivière.

Là, il a appris à allumer un feu, à construire un camp sommaire qui le protégera du froid, et c’est ce qu’il entreprend de faire.

Là, il a également expérimenté les rudiments de la pêche mais il n’a actuellement aucun matériel et il n’y a pas de rivière à proximité.

Une fois rassuré par la présence du feu, le jeune homme s’écroule de fatigue.
Steven se réveille à l’Aurore, lorsqu’une brise légèrement humide se fait ressentir. Il entreprend alors de trouver de quoi se nourrir car il sent qu’il a faim.

Il regrette alors de ne pas connaître les fruits et les fleurs comestibles, car il voit bien quelques fruits sur certains arbres, mais il ignore si il peut les manger…

Résistant à la tentation de goûter, il se souvient qu’il rêvait d’attraper un oiseau quand il était petit. Il courait alors après les pigeons dans le parc de son enfance. À l’époque, il ne souhaitait pas les manger, juste jouer. Et sa mère riait en essayant de lui expliquer qu’il n’arriverait jamais à attraper un pigeon en courant après…

Son père, lui, restait impassible mais il finissait par ajouter à la suite de sa mère :
« Si tu veux attraper un oiseau, comme un pigeon, commence par le nourrir, alors, tu pourras l’attirer dans un piège. »

Cette leçon était gravé dans la tête du jeune homme, et il commença à réfléchir, et à se mettre en quête de ce qui pourrait lui servir afin de pouvoir se mettre quelque chose de chaud et de consistant dans le ventre.

Steven trouve quelques croûtons de pain dur et il récupère un bout de fil de fer sur une clôture.

Il s’est décidé à faire simple. Il compte attirer un maximum de pigeon en leur lançant des petits morceaux de pains, tout en ayant placé son collet au sol devant lui.

Il lui faudra trois essais et un pigeon se laisse berner et se fait prendre la patte dans le fil de fer qui sert de collet.

Comme il a déjà regardé sa mère et sa grand-mère, dépouillé et déplumé des animaux en vue de les préparer pour dîner, le jeune homme sait qu’il doit égorger, puis déplumer le pigeon, avant de lui retirer les entrailles.

Après avoir attaché solidement l’animal au tronc d’un arbre, près de son camp, Steven se dirige vers des maisons désormais penchées et prenant son courage à deux mains, il pénètre dans une maison, dans une cuisine, en passant directement par le jardin. Il peut ainsi se saisir d’un faitout, de couverts, d’une lampe électrique, d’un briquet, de café en dosettes et même de sel, mais il n’ose ouvrir le frigo, car il sait qu’il n’y a plus d’électricité et il se souvient que la dernière fois qu’il a ouvert un frigo hors service, une odeur pestilentielle s’est fait ressentir…

Son forfait accomplit, il retourne à son camp et met deux grosses bûches de bois sur le feu.
Puis il remplit le faitout avec de l’eau qu’il a ramené sans que l’on s’en doute.
Puis fait chauffer l’eau sur le feu. Enfin, il attrape le pigeon par la corde qui lui entrave une patte, et l’attache à une branche d’arbre.
Le pigeon, tête en bas, a tout loisir de se voir partir lorsque le jeune homme lui tranche la gorge d’un seul coup de lame.

Lorsque l’eau se met à bouillir, Steven plonge le pigeon dedans avant de le ressortir et de commencer à le plumer.

La bête déplumée, le jeune homme, la vide en lui retirant les tripes, puis il remet de l’eau à chauffer pour cette fois, y plonger l’animal pour quelques heures de cuisson directement dans l’eau salée.

Si Steven fait tout cela, c’est parce qu’il a apprit que les plumes ne se mangent pas, pas plus que les entrailles qui risquent de le rendre malade.

Et si il fait bouillir le pigeon pour le cuire, c’est parce qu’il sait que l’eau qui bout, tue la majorité des germes, bactéries et virus.

Trois jours plus tard, il fut sauvé et c’était la moins peinée de toutes les victimes, d’autant qu’il a retrouvé toute sa famille, qui avait, en fait, été évacué avant la disparition de la maison, entre les deux séismes.
Il vécu heureux et enseigna à son fils à pêcher et à cueillir les fruits et fleurs sauvages. En effet, il s’était promis qu’il saurait la prochaine fois si il peut sans risques manger le fruit qui peut lui sauver la vie.

Les fruits qu’il avait rencontré pendant sa période de détresse étaient tout à fait comestibles et il se dit qu’il a tué un pigeon alors qu’il n’était pas obligé…
Mais que cela dit, il était bon.

Savoir survivre,
Les petites histoires de
Romain Borlet

Accueil The Troble

Je Suis…
Je Suis… Oui, mais qui ? Oui, mais quoi ?

Lorsque nous demandons à certains Maîtres spirituels comment procéder pour atteindre l’équilibre, ils nous disent que l’équilibre est un état d’être qui se ressent dans le moment présent et que, comme pour tous les états d’être, il existe des techniques auxquelles nous devons être entraîné pour atteindre l’état recherché et ce, quand nous le souhaitons.

Une de ces techniques consiste en l’affirmation de l’association des termes : Je Suis…

Oui, mais qui ?

Le cœur connait la réponse, et il n’a pas besoin de beaucoup plus que la simple affirmation ; mais le mental, lui, aimerait connaître la réponse, donc il cherche…
Alors le mental déséquilibre tout l’édifice avant même un ressenti.

Le mental veut se faire une conception et doit donc être capable d’identifier pour se faire une idée, et ainsi imaginer.

Je suis, en premier lieu, le Nombre associé à mon caractère, qui se lit également avec les lettres de mon Nom.

Mais je suis aussi, bien plus que cela, car je suis aussi l’Essence de mon Nom, ainsi que l’idée que l’on s’en fait.

Pour établir une comparaison, prenons une chose, n’importe quoi… Une fleur ou même une chaise…

Il y a ce que nous voyons de la chose, il y a l’idée que nous nous en faisons, et il y a l’Essence de la chose.

Il y a donc ce que nous percevons directement, il y a l’idée que nous nous en faisons, en fonction de nos souvenirs et de l’expérience que nous avons acquis de cette chose, et il y a l’Essence de la chose, c’est-à-dire, ce qu’elle est réellement.

De la même manière, il y a la perception que nous avons de Nous-même à l’instant présent, il y a l’idée que nous nous faisons de Nous-même, en fonction de nos expériences, de nos souvenirs, de ce que les autres en disent et de ce que nous en pensons en général, et enfin, il y a l’Essence de ce que Nous sommes, c’est-à-dire, ce que Nous sommes véritablement.

Je Suis… Ce que Nous sommes véritablement. L’Essence de ce que Nous sommes.

Nous voyons qu’il s’agit d’une chose qu’il est très difficile de désigner directement et donc d’identifier.
À chaque fois que le mental essaie de concevoir l’Essence de ce qui fait l’être humain, cela lui échappe ; cela dit, par comparaison, il est possible de s’en faire une idée.
Cette idée n’est déjà plus l’Essence et elle nous permet simplement de pouvoir échanger et d’entretenir une réflexion sur le sujet.

À la manière du Tao de Lao Tseu, qui ne désigne rien afin de designer le Tout, sans quoi il serait difficile d’en parler ou même de simplement y penser.

Le Tao est l’Essence de toute chose. Nous ne pouvons le percevoir, ni le voir, donc, nous ne pouvons pas le designer.
Nous n’en avons aucune expérience directe et aucun souvenir, donc nous ne pouvons pas nous en faire une idée.
La seule formulation possible est : le Tao est l’Essence de toute chose.

Je suis donc l’Essence à l’origine de mon Nombre, c’est-à-dire de mon caractère, et de tout ce qui s’y associe, le moi comme le soi, tandis que ce que je perçois de mon être, ainsi que l’idée que je m’en fait sont faussées par mon histoire et mes croyances.

Le mystique ou l’illuminé explique que selon son expérience, c’est lors de la fusion de sa propre conscience avec la Conscience Universelle, ou Conscience Cosmique, qu’il a atteint un état Supra-Conscient, et qu’il a ressenti de tout son être l’Unité Universelle.

Je Suis… l’Essence de ce que je suis. Qui est aussi l’Essence de l’être humain, l’Essence de l’humanité, l’Essence de la Conscience Universelle, l’Essence de l’Unité, l’Essence de l’Univers.

Cela parce que tout est dans Tout, et que l’Univers est fractal, basé sur un tableau unique reproduit à l’infini à l’intérieur du tableau.

Romain Borlet

---

Cette lecture vous a plu ? Retrouvez tous mes articles sur le menu du site :

Accueil The Troble

Lisez la poésie spirituelle associée à cette article :

Je suis… Elle

Jacques Mesrine : l’anti-héros

Jacques Mesrine a eu une vie très mouvementée. Très jeune, il fut réfractaire à l’autorité et en désaccord avec le système de société qui lui était proposé.

Il en vint rapidement à fréquenter le milieu mafieux de la région parisienne et il montra un certain talent dans la pratique de l’art qu’il s’était choisit :

Malfaiteur et criminel.

Si il choisit cette voie, c’est parce qu’il est mû par un désir de vengeance vis-à-vis de la société et parce que c’est une facilité pour avoir de l’argent dans un monde où l’accès au travail est de plus en plus difficile.

Un fait doit retenir notre attention :
C’est que Mesrine agit toujours avec une forte détermination, un sang-froid que l’on qualifie généralement d’exceptionnel, et d’une certaine droiture dans son allégeance aux règles de la rue.

Si Jacques Mesrine réussi régulièrement dans ses entreprises, c’est d’abord parce qu’il a une grande confiance en lui.
Il sait de quoi il est capable car il a eu l’occasion d’expérimenter très tôt ses capacités.

Jacques Mesrine a braqué un grand nombre de banques dans plusieurs pays, et principalement en France mais également, il s’est attaqué aux casinos, et s’est évadé de plusieurs des prisons les plus sécurisées, de l’époque.

Enfin, après s’être évadé d’une prison de haute sécurité dernière génération situé au Québec, Mesrine y retourne avec un complice, ils sont armés, et viennent pour faire évader leurs camarades restés prisonniers de l’enfer.
Cette fois, ils échouent…

Mais, étonnement, Jacques est animé par le désir de faire prendre conscience à la société que le traitement imposé dans ces établissements que nous nommons : prison de haute sécurité, sont des traitements inhumains.

Nous voyons que Mesrine se préoccupe de ce qui l’a directement touché concernant la dignité humaine et qu’il l’a défend, alors qu’il a lui-même pratiqué, de son aveu, la torture et le meurtre.

Enfin, alors que Jacques Mesrine devient l’ennemi public numéro un en France, il utilise sa notoriété et se met en scène, pour faire passer son message et pour redorer son blason.

La police française finit par l’éliminer, en lui tendant un guet-apens, car certains hauts placés de l’époque ont conscience qu’arrêter Mesrine est inutile puisqu’il s’évade à chaque fois sans que personne ne puisse l’en empêcher.

Les questions qui nous intéressent sont :
Mais comment fait-il pour s’évader à chaque fois ? Comment peut-il avoir un tel aplomb au point de se rendre directement au commissariat en se faisant passer pour l’autorité qui vient superviser le travail des policiers du secteur, et ce, juste avant de braquer le casino de la ville (Casino de Deauville) ?

De toute évidence, Mesrine a une grande confiance en lui et une bonne capacité à la visualisation de ses objectifs.

Certainement que Mesrine passait une grande partie de son temps de détention à imaginer comment il allait s’évader.
Alors, peu à peu, des opportunités se présentaient et Mesrine savait reconnaître la bonne opportunité. Il avait le courage et la présence d’esprit pour agir au bon moment.
Enfin, il était déterminé à réussir.

Mesrine n’était certainement pas spirituel et ne connaissait même pas les lois mais il appliquait parfaitement la loi d’attraction et réalisait ainsi ses rêves d’évasions.

Cela montre que la foi en soi est tout aussi efficace que la foi en une divinité.

Et également que la pratique de la visualisation, par imagination ressentie intérieurement, est des plus importantes dans la création de notre propre réalité.

Celui qui se trouve dans une cellule a tout le temps de méditer même si il ne se rend pas forcément compte de sa méditation.

Ainsi la méditation prend différentes formes :
Par exemple, nous pouvons nous concentrer sur un point fixe.
Ou alors, nous pouvons nous concentrer sur une idée fixe.

Mesrine qui veut s’évader, voilà une idée fixe, qu’il aura tout loisir de cogiter alors qu’il est enfermé dans une cellule avec l’accès à un minimum d’objets.
Mesrine est un antihéros car il a su utiliser les forces cachées en lui pour accomplir sa destinée, seulement, il l’a fait avec des intentions égoïstes. (Et même lorsqu’il vient libérer ses camarades, ses intentions sont égoïstes car il le fait d’abord pour dénoncer le traitement qu’il a lui-même subit dans les prisons de haute sécurité, et donc afin de ne plus avoir à le subir directement à l’avenir, et il le fait aussi pour la gloire que la réussite de son acte pourrait lui apporter auprès de ses camarades qu’il est venu sauver.)
La renommée de Mesrine est donc dû à sa confiance en lui et à sa manière d’avoir su sublimer son ego, et ce, malgré les horreurs qu’il a pu accomplir au cours de sa vie.

Nous voyons que dans le cas de Mesrine, ce sont ses choix qui ont créé sa vie.
Mais contrairement à d’autres, nous disons que ses choix ont été engendré par son environnement extérieur.

Mettons le même Mesrine dans un environnement différent dès le début de sa vie et nous obtenons des résultats différents.

Échangeons les valeurs de la rue contre des valeurs humaines et voici que notre Mesrine utilise ses capacités pour faire le bien.

Selon notre conception, l’environnement influence la personnalité, et la personnalité influence l’environnement.

Ce qui signifie que nous pouvons agir sur notre personnalité pour améliorer la perception que nous avons de notre environnement. De même, nous pouvons agir sur l’environnement pour améliorer l’épanouissement de notre personnalité.

Enfin, celui qui n’est pas conscient du fait qu’il est le créateur de sa réalité, cherche constamment à combattre à l’extérieur de lui-même l’injustice dont il est témoin et d’autant plus si il en est victime lui-même. Tandis que la révélation de l’information, comme quoi, nous créons notre réalité peut aisément tout changer.

Si il existe un secret qui change tout, c’est : nous sommes les créateurs de notre propre réalité. La révélation nous incite à changer de nous-même.
Si ce n’est pas à l’extérieur que se trouve l’ennemi, il se trouve donc à l’intérieur. Le combat devient différent et il s’agit de se réconcilier au lieu de combattre.

C’était Mesrine, d’un point de vue spirituel. Prenons le positif, et laissons le négatif à l’histoire.

Romain Borlet

Accueil The Troble

La Supra-Conscience

L’être humain est doté d’une conscience qui lui permet de se rendre compte qu’il existe lui-même.
L’autre est perçu de manière inconsciente comme une prolongation de lui-même, et ce, tant qu’il n’a pas créé une séparation par identification. De même, l’ensemble de son environnement est d’abord une unique entité, qui n’est autre que lui-même.
L’identification d’une chose ou d’un être entraîne une séparation consciente.
D’abord, l’environnement nourrit bébé, puis l’identification de la mère comme nourricière se traduit par : maman qui se trouve dans l’environnement nourrit bébé.
L’identification de la tétine se traduit par : maman qui se trouve dans l’environnement nourrit bébé par le biais de la tétine.

Bébé a faim. Il sait que l’environnement (qui est comme lui-même) peut lui permettre de faire venir sa mère, et que sa mère peut lui donner sa subsistance grâce à la tétine. Donc, il pleure. Il émet des vibrations dans l’environnement qui iront jusqu’à la mère, qui finira par se manifester.
La tétine devient substitue à la nourriture et il est possible de calmer bébé à l’aide d’une tétine lorsqu’il croit avoir faim.
Avant même l’éveil de la conscience, le subconscient a déjà commencé à identifier l’environnement de l’être humain.
L’éveil de la conscience se manifeste alors petit à petit, et très progressivement, chez les jeunes enfants, et les enfants, pour se poursuivre à l’adolescence et à l’âge adulte.

Selon le parcours spirituel et le chemin de vie de chaque être humain, l’éveil de la conscience est particulier. Chaque être humain vit l’éveil à sa manière qui est unique mais chaque éveil à des similitudes.

À partir d’un certain degré d’éveil, une expansion de conscience se produit et il semble qu’une connexion s’établit entre la Conscience Universelle et la conscience de l’être éveillé.
La Conscience Universelle rappelle alors que toutes les consciences individualisées dans des corps denses, quelques soient l’endroit où elles vivent dans l’Univers, toutes ces consciences font toujours partie de la Conscience Universelle et elles ne l’ont jamais quitté.
La Conscience Universelle, c’est l’Intelligence Universelle, ou c’est l’Intelligence de l’Univers, ou c’est la manifestation de l’Intelligence de Dieu dans la matière.

La Conscience Universelle, c’est aussi les Annales Akashiques. Tout ce qui est, tout ce qui a été, mais aussi, tout ce qui sera, y est inscrit et celui qui se trouve en état d’illumination, peut y accéder, donc connaître ou deviner, le présent, le passé et l’avenir.

L’illumination est un état d’être dans lequel, l’être humain retrouve l’Unité primordiale et ne forme plus qu’une seule entité avec l’Univers. Une osmose parfaite est manifestée entre l’être et l’Être, qui ne forme plus qu’un Être. Entre l’être humain et l’Univers. Entre la conscience et la Conscience Universelle.

Ainsi, l’être illuminé est doté d’une Supra-Conscience qui lui permet de tout connaître selon ses désirs de connaissances.
La conscience que nous croyons pouvoir situer dans notre tête est, en fait, la même conscience que la Conscience Universelle qui se trouve partout et de tout temps.

Le corps et l’âme ne sont que des émanations de ce que nous sommes vraiment : la Conscience Universelle.

Cette manière que nous avons d’éveiller peu à peu notre conscience sans y avoir un total accès, dès la naissance physique, vient du fait que nous nous créons une illusion limitante.

Cette illusion est provoquée par l’identification de notre environnement et particulièrement l’identification de nous-même.

Je suis français. Ce qui ne m’empêche pas d’être un être humain de la planète Terre, mais qui m’empêche d’être allemand, algérien ou chinois.

Je sais ce que c’est que d’être français mais je ne serai jamais (au cours de cette vie) ce que c’est de se sentir allemand, algérien ou chinois.

Et cela, simplement parce que je m’identifie à un français.

Autre exemple : si l’on m’a apprit que je suis un homme très travailleur et pointilleux, je vais avoir tendance à le démontrer par ma façon de travailler. De même, si l’on m’a apprit que je suis feignant et brouillon dans tout ce que je fais, je vais avoir tendance à le démontrer dans mon travail.

Les différents maîtres spirituels ont défini deux grandes voies pour atteindre l’état d’illumination :
✓ Dissolution de l’ego ;
✓ Sublimation de l’ego ;

Deux voies en apparence opposées.
Pourtant, celui qui se demande ce qu’est en train de faire celui qui se trouve sur une voie, puis sur l’autre, se rend compte qu’il existe des similitudes :
Dans le cas de la dissolution de l’ego, il s’agit de gommer les traits de notre caractère afin de ne plus nous identifier et de nous sentir libre d’incarner pleinement l’Unité.

Dans le cas de la sublimation de l’ego, il s’agit de gommer les traits de notre caractère, qui nous font du tort, et de sublimer les traits de notre caractère qui nous mettent en valeur, afin d’incarner pleinement l’unité que nous représentons sur Terre.

Quel est donc le chemin qui mène à l’illumination ?
Il s’agit de gommer les traits de caractère qui nous font défaut et d’incarner l’Unité ou l’unité qui finissent par se confondre.

Romain Borlet

---

Accueil The Troble

Dans la vie, tout est équilibre.

Cette citation exprime une vérité seulement elle nous semble moins vraie de notre point de vue éphémère, que du point de vue absolu.

En effet, nous avons bien du mal à concevoir ce dont nous ne nous souvenons généralement pas ou peu : nos vies antérieures.

Or, chaque événement de notre vie résulte en grande partie de conséquences dû à notre karma.

Ainsi, ma vertu fera ma joie, mais aussi, mes vices feront mes peines, et puis, mes joies feront mes vertus, et enfin, mes peines feront mes vices.

C’est pourquoi, l’être vertueux se rapproche de la Lumière et c’est pourquoi l’être vicieux se rapproche de ses enfers.

L’équilibre se trouve dans le fait que chacun sera riche de cœur, riche financièrement, et chacun sera pauvre de cœur, pauvre financièrement, de manière alternative, d’une vie à l’autre, ou durant une même vie, le nombre de fois nécessaire au développement spirituel de son être.

L’être ayant atteint un développement suffisant de sa conscience et ayant nettoyé son karma afin de le rendre positif, choisit désormais pleinement les situations et les émotions qu’il souhaite expérimenter durant son existence.

Le karma s’exprime dans cette main tendue que l’on aimerait remercier à sa juste valeur mais qui ne demande rien car les âmes, elles, se souviennent d’une époque en armure où nous étions alors chevaliers et où nous sauvions cette âme d’une mort certaine…

Le karma finit toujours par nous le rendre et il s’exprime également à travers les souffrances de notre enfance (qui consistaient à brûler le trop-plein de souffre accumulé durant nos précédentes vies, afin de mieux démarrer cette nouvelle vie déjà assez dure…)

Faire du bien à l’autre, à l’être humain, à l’être vivant, à soi-même, aujourd’hui, c’est s’assurer que l’on prendra soin de nous, aujourd’hui, demain, dans 10 ans ou dans une autre vie car le temps n’a pas d’importance pour le karma et que de toutes façons, à la fin, nous serons tous parfaitement équilibré du point de vue du Divin, ou du point de vue absolu.

L’être humain, c’est-à-dire, la Conscience individualisée dans des unités indépendantes formées de 7 corps de différentes densités ; l’être humain a une perception éphémère de son existence, ce qui fausse la vision générale qu’il a de sa vie du point de vue éternel.

Rien n’est tout à fait équilibré au sein de l’Univers, car chaque chose, chaque être possède un caractère qui lui est propre, (et qui s’associe par correspondances…).

Cela dit, le Tout, est parfaitement équilibré.

Le Maître spirituel appelle à trouver l’équilibre et c’est un véritable travail à entreprendre pour découvrir les sensations d’un moment équilibré.

Et cela ne dure qu’un instant, car il est plus aisé de se déséquilibrer que de maintenir son équilibre énergétique.

Il faut alors encore travailler pour modifier son habitude au déséquilibre, et par entraînement, changer ses connexions neuronales afin d’opter pour une habitude subconsciente à l’équilibre.

Lorsque la souffrance de l’être est transmutée en élargissement de la conscience, alors, le karma se purifie et il est possible d’effectuer un travail d’introspection en lien avec chacune de nos souffrances passées afin de brûler le souffre lié à la blessure et qui produit une énergie au caractère volcanique.

Du point de vue de la Vie, l’équilibre se trouve dans les 4 saisons, dans le caractère des 4 saisons. 4 caractères en correspondance avec les 4 éléments, ou les 4 couleurs d’un jeu de 32 cartes, les 4 directions, ou les 4 périodes de la vie d’un homme : enfance, adolescence, vie adulte, vieillesse.

Ces 4 caractères vont par opposition de 2. Ainsi, les 4 caractères de la vie, se définissent par été et hiver, printemps et automne ; chaud et froid, sec et humide ; Sud et Nord, Est et Ouest ; Feu et Eau, Air et Terre, et ainsi de suite à l’infini.

Du point de vue absolu, nous disons la même chose, lorsque nous émettons l’idée de l’été, l’idée du chaud, l’idée du Feu, l’idée du Sud…

Et nous classifions les idées en fonction de leur niveau de chaleur, et de leur niveau d’humidité.

Ainsi, les deux oppositions, Été/Hiver se comparent par leur différence de niveau de chaleur.

Il est à noter que dans l’hémisphère Sud, il n’y a que deux saisons : saison chaude, et saison des pluies.

L’observation des saisons, c’est comme l’observation des cycles de la vie.

Ainsi, celui qui n’est pas lui-même passé par un cycle humide, aura bien du mal à expérimenter un cycle chaud et risque de se morfondre dans un cycle maussade.

Un cycle humide se reconnaît par l’usage de l’élément eau. Il s’agit donc de pleurer, de se purifier par les ablutions, de pratiquer un sport nautique comme la natation, de suer d’une manière ou d’une autre, d’aller respirer l’air de la mer, mais également de pardonner sa mère (la femme étant liée à l’eau et la mère à la mer), ou encore danser sous la pluie…

Après un cycle humide, se présente un cycle chaud, et la vie est beaucoup plus agréable à vivre.

Souhaitons nous à tous d’excellents cycles.

Romain Borlet

---

Accueil The Troble

---

Dépendances : le fléau qui nous vole nos objectifs

Celui qui prend de l’héroïne court après sa came. Mais pourquoi ? Par dépendance.

Sa dépendance est telle que son mental lui fait croire qu’il en mourait si il arrivait qu’il reste en manque.
Et la croyance est telle qu’il arrive que certains en meurt.

La dépendance modifie la pensée à travers l’expression du mental, ce qui entraîne une modification de la manière de se comporter. Ainsi la personne dépendante se voit contrainte de changer ses objectifs, quel qu’ils soient, et d’opter pour un objectif unique qui consiste à trouver le moyen de consommer l’objet convoiter.

Consciemment et inconsciemment, tout le travail du mental vise à faire en sorte que la substance recherchée pénètre le corps afin qu’un effet d’apaisement soit enfin ressenti.

Nous avons choisi l’exemple de l’héroïne car il s’agit d’un produit qui rend extrêmement dépendant et les effets que l’on peut constater sont davantage visibles, en comparaison avec les autres dépendances, cela dit, notre sujet concerne toutes les dépendances.
En haut du tableau, sous les drogues considérées comme dures, nous trouvons l’alcool, la nicotine et les médicaments du type antidépresseurs.

Ces trois sortes de produits rendent hautement dépendants lorsqu’ils sont consommés de manière régulière, ou quotidiennement.

Ces trois sortes de produits influences donc la pensée par le biais du mental et influencent, du même coup, les actions de celui qui consomme.
Le manque ressenti d’un produit va mettre toute la machinerie en branle dans le seul et unique but d’atteindre l’apaisement par arrêt du manque.

Dans le cerveau, le subconscient va s’éveiller au manque, par le fait d’une odeur, d’un son, d’une parole, d’un geste ou d’un fait quelconque, puis il va émettre une idée pour le mental qui va arriver à la conclusion du manque par association d’idées.
Le mental résolument convaincu qu’il faut avertir le conscient, n’aura de cesse de tourner autour du manque, par association d’idées.

La conscience finira par se demander :
« Bon, je fais quoi, maintenant ? »
Et l’idée apparaîtra comme par magie :
« De toutes façons, en priorité, il me faut de [mon produit]. »

Alors quoi de mieux que de mettre le corps, l’âme et l’Esprit au travail pour ce produit.
Cela devient ainsi l’objectif numéro un et tous les autres pans de la vie passent au second plan.

Qui a parcouru plus de 10 kms à pied juste pour aller chercher un paquet de cigarettes sait de quoi nous parlons…

Le manque ou la peur du manque, c’est le fléau qui nous empêche d’incarner ce que nous sommes vraiment, car nos objectifs sont ainsi détournés par l’illusion d’un apaisement éphémère et par la prise d’une substance.

Le manque existe également sous d’autres forment, comme le manque affectif, le manque de nourriture et le manque d’un point de vue sexuel.

Le manque de nourriture et le manque d’un point de vue sexuel, sont dû à notre physiologie naturelle et il s’agit de bien faire attention lorsqu’on sort d’une dépendance de ne pas tomber dans une autre dépendance, notamment liée à la nourriture ou à la pratique sexuelle.

Nous voyons souvent le cas de celui qui arrête de fumer et qui se met à grossir à vue d’œil, car il compense sa consommation excessive de cigarettes par une consommation excessive de nourriture.

L’impression du manque apparaît également chez la personne qui convoite un objet ou qui perd un objet.

De même, chez la personne habituée à une présence et qui perd cette présence.

Chaque impression de manque diffère mais le désespoir qui est lié à un sentiment de manque profond et prolongé demeure néanmoins similaire. Ce désespoir ressemble à une fracture qui s’ouvre sur les abysses et qui ne mène qu’au néant.

Que pouvons-nous ajouter si ce n’est qu’il est de notre intérêt de sortir des dépendances.

Le fait d’être libre de dépendance permet d’augmenter le temps que nous avons pour faire des choses utiles, d’augmenter l’énergie que nous mettons dans nos véritables objectifs, d’augmenter la place utilisée par notre cerveau pour réaliser nos rêves et pour s’exercer à l’humanité.

Lorsque nous avons commencé à observer nos émotions, nos pensées, notre mental, nous avons acquis une force de volonté sur ces mêmes émotions, pensées et mental, ce qui nous donne la force nécessaire pour choisir de cesser d’être dépendant.

Se dépasser, c’est aussi avoir la force de caractère de se libérer de ses carcans.

Évidemment, l’intérêt majeur dans le fait d’arrêter une substance qui nous influence négativement, c’est du point de vue énergétique.

La persévérance, la volonté et un désir de changements positifs sont les clefs qui nous aideront pour accomplir notre tâche, qui a n’en pas douter, sera des plus favorables pour notre développement spirituel.

Romain Borlet

---

Objectif numéro un : avoir un objectif.

Peu importe la destination, l’enseignement se trouve dans le voyage, sur le chemin que l’on parcours.

Oui, mais il faut avoir un objectif, sans quoi nous errons en quête de satisfactions personnelles très terrestres.
Nous devons déterminer une destination et peu importe si nous bifurquons de temps en temps, du moment que l’on revient toujours à notre objectif principal.

Il s’agit donc de choisir nos objectifs avec soin, de savoir donner une priorité, et de persévérer dans la direction qui nous permet d’accomplir nos buts, sans relâche et ce, tant que nous n’avons pas atteint notre objectif, et que la priorité n’a pas évolué.

Il faut comprendre que le subconscient ne répond qu’aux objectifs que nous lui soumettons. C’est justement la fonction de notre conscient de fournir l’objectif, les buts, la destination, à notre subconscient qui nous assure de la bonne direction.

Objectif principal : la santé.

Sans le corps physique, il nous serait difficile d’interagir avec notre environnement matériel, c’est pourquoi, notre premier objectif devrait être de garder notre corps en bonne santé.

La santé passe par la nourriture, par la gestion du stress, par l’exercice et par l’élimination des toxines…

À ce titre, nous recommandons de consommer quotidiennement des fruits frais, des légumes et toujours au plus proche de ce qu’a voulu la nature.
Les produits directement cueillis sur l’arbre ou des produits bios, c’est mieux.
Avoir une alimentation équilibrée, c’est bien. Éviter les excès, c’est encore mieux.

Pour être en bonne santé, il s’agit d’éviter certains produits nocifs pour le fonctionnement des connexions cérébrales : notamment, évitez les anti-douleur, de l’industrie pharmaceutique, évitez les fast-foods, et évitez les édulcorants.
Ces trois types de produits contiennent des molécules qui modifient le fonctionnement de notre système cérébrale.
Les anti douleurs modifient nos connexions neuronales pour nous faire croire qu’il n’y a plus de douleur, mais ce n’est pas sans conséquence. De même, les fast-foods comme ceux qui vendent des hamburgers, ajoutent une molécule à leur produit, ce qui modifie nos connexions neuronales, afin de nous faire croire que c’est bon, et pour nous empêcher de vomir. Ce n’est pas sans conséquence. De même, les molécules synthétisées pour remplacer le sucre, et que nous nommons édulcorants, que nous trouvons dans de nombreux sodas, et dans les produits « sans sucre », de même, ces molécules ont un effet négatif sur les connexions neuronales, en plus, d’avoir une incidence chez certaines personnes diabétiques, et autres troubles.

Nous voyons qu’il suffit de retirer quelques produits de notre consommation courante pour améliorer notre santé.

De plus, nous recommandons d’effectuer au moins une heure d’activité physique, au minimum, par jour.
C’est un minimum, et chacun s’adapte à ses propres capacités, ainsi, certaines personnes préféreront effectuer une heure de marche lente par jour, tandis que d’autres feront une heure de vélo, une heure de natation, et deux heures de marche. Tout dépend de nos propres capacités et de notre volonté à agir.

Il convient de voir quelles toxines nous absorbons, quotidiennement, consciemment et inconsciemment.
C’est pourquoi, il convient de se purifier par les différentes manières existantes à notre disposition et de travailler à réduire nos dépendances.

Rappelons ici, que la pratique de la méditation quotidiennement permet d’améliorer la santé générale.

Gérer notre stress passe aussi par la création.
C’est pourquoi, nous invitons chacun à se lancer dans un art créatif.

Qu’il s’agisse de création artisanale, ou de création artistique, le fait de créer a tendance à équilibrer nos énergies, et donc à réduire notre stress.

L’objectif principal est de définir notre objectif et de nous y tenir.
Il faut commencer par rêver, puis imaginer, et enfin ressentir, avant d’aller vers…

Voir le beau, créer le beau, apprendre le vrai, transmettre le vrai, voici de nobles objectifs.
Tout objectif qui permet en définitive d’aider un être humain, de l’éclairer, de le réchauffer, de le soutenir est un objectif qui est divinement reconnu. De même, celui qui agit pour le vivant et pour la protection de la Terre, est soutenu par tous les anges.

Notre objectif peut simplement être d’aller mieux. De se sentir mieux. De se sentir bien.
L’important est de mettre de l’Amour dans ce que nous faisons. Et de partager de bons moments avec les personnes que nous aimons.

---

Il peut être bon d’avoir un cahier dans lequel nous notons nos objectifs principaux et d’y détailler les moyens de parvenir à ce que nos buts soient effectifs.

Nous pourrons ainsi établir une liste de priorité et un objectif principal. Nous pourrons également établir une liste de nos désirs matériels et financiers. Le but étant de se diriger vers… Et l’Univers le mettra sur notre chemin.

Il faut comprendre que la vibration est créatrice. Qu’il s’agisse d’une vibration sous forme pensée, parlée, écrite, dessinée, symbolisée ou encore ressentie, ou produite par l’action, toute vibration à un effet, selon le principe de cause et d’effet, énoncé par les Hermétiques.

Ces effets peuvent se voir dans notre réalité propre sous la forme d’événements, de rencontres et de personnes, ou de signes écrits, symbolisés ou vécus.

Romain Borlet

---

Être en osmose avec la vie

Nous passons une bonne partie de notre vie à satisfaire nos instincts. Chose qui n’est ni bien, ni mal, mais qui peut le devenir.

Exemple : lorsque nous nous nourrissons, c’est une bonne chose, mais lorsque nous mangeons de la mauvaise nourriture, ou de la nourriture en trop grande quantité, nous prenons le risque de tomber malade, ou de devenir obèse.

Autre exemple : lorsque nous consommons quotidiennement des substances qui nous rendent dépendants, telles que la caféine, la théine, la nicotine, l’alcool, et toutes autres drogues, nous répondons à une demande instinctive.
Il s’agit toujours de combler un manque ; manque qui ne peut être comblé par les substances que nous prenons.

Les substances ne font que masquer la véritable origine du trouble.

Certains diront : « Mais j’aime boire un café le matin, puis fumer ma cigarette, en attendant l’apéritif à 11h15, et fumer un petit pète le soir. C’est ainsi que je me sens bien. »

Certes, et si vous vous sentez bien, tant mieux, mais avez-vous essayé de faire sans café le matin, sans cigarette de la journée, sans apéro à midi, ou sans vous enfumer le soir ?
Si vous avez essayé, peut-être malgré vous, vous savez à quel point vous êtes irrités lorsque cela se produit.

Cette réaction d’irritation intérieure vient du fait que vos instincts vous demandent quelques choses que vous n’êtes pas en mesure de leur offrir.

C’est la même chose qu’il se passe lorsque nous sommes confrontés à un manque de nourriture. Cela commence par de l’irritation.
Et c’est la même chose que lorsque nous sommes confrontés à un manque de sommeil.

L’irritation est la réaction naturelle de nos instincts confrontés à un manque.
L’irritation sert à créer un mouvement, à donner une impulsion, afin de nous inciter à aller chercher la substance que nous demande notre corps.

Celui qui veut être équilibré dans sa vie doit nécessairement travailler sur ses dépendances, car même si nous paraissons équilibrés en consommant du café et en fumant des cigarettes, nous serons, un jour, confrontés à une pénurie qui risque fort de nous déséquilibrer.

Les instincts, c’est le corps physique qui s’exprime.

L’intuition, c’est l’âme qui s’exprime.

Et le Logos, c’est l’Esprit qui s’exprime.
(Le Logos, c’est tout ce qui concerne la communication humaine, et les moyens de communication. La parole, le geste, le son, l’écriture, le symbole, le dessin, et l’art en général.)

La satisfaction de nos instincts est nécessaire pour trouver un bon équilibre mais il ne faut pas se tromper en offrant à notre corps des substances qui n’auront qu’un effet éphémère.

L’intuition nous dit qu’en travaillant notre caractère et notre volonté, nous pouvons arriver à tout.

Le caractère se travaille par le biais des 7 plus hautes vertus : la Prudence, la Persévérance, la Sagesse, la Compassion, la Foi, la Tempérance et la Justice.

Tandis que la volonté, nous la travaillons en s’entraînant à un exercice de concentration.
En effet, maintenir de manière volontaire notre concentration sur un point fixe, augmente notre force de volonté.

Plus nous prolongeons l’exercice et plus notre volonté se trouve renforcée.
Attention, la volonté est également liée à l’estime de soi. Alors, travailler devant le miroir et sur sa confiance en soi augmente également la volonté.

Le Logos, nous invite quant à lui, a pénétrer le monde des symboles et des couleurs, en équilibrant nos chakras, et il nous invite également à nous tourner vers le Divin.

La méditation est un moyen efficace pour retrouver l’équilibre, de même que le Yoga.
Ce sont également d’excellentes pratiques pour entrer en communion avec l’Unité.

L’équilibre se ressent. Si nous allons bien, et que nous nous sentons bien, alors tout va bien.
Mais si nous avons des doutes, si nous pensons que nous pouvons améliorer notre vie en changeant juste une chose, alors faisons-le !

Enfin l’équilibre se retrouve sur la balance qui pèse l’âme, qui doit être plus légère qu’une plume.

Le regret est générateur de déséquilibre, et nous devons nous en passer, avoir le courage de pardonner et surtout de se pardonner soi-même de ne pas avoir su faire que les choses soient autrement.
Ce qui est passé, est passé. Le présent nous accueille pour préparer un beau futur.

Romain Borlet

Le hasard n’existe pas. C’est un fait que trop peu prennent en compte. L’Univers, dans son ensemble, est basé sur une simple vibration : la Vibration primordiale qui se répète de manière fractale à l’infini avec un déplacement d’une octave à chaque fin de cycle.

Il n’y a que trois possibilités pour chaque événement de notre vie :
Soit l’événement est produit par la nécessité, soit l’événement est produit par la Providence, enfin soit l’événement est produit par le libre arbitre de l’être humain.

La nécessité, ce sont les opérations de la Nature. La nécessité prévoit la mort, à plus ou moins long terme, dès lors qu’il y a eu une naissance. La nécessité prévoit qu’il faut de l’énergie pour faire fonctionner une machine. La nécessité prévoit une sexualité pour chaque espèce afin d’engendrer de nouveaux individus similaires.

La nécessité ordonne quatre saisons par cycle, sur chaque planète, et pour chaque être vivant.
La nécessité, c’est la Nature en action.

La Providence provient du Divin. Ce sont les évènements qui se produisent sans que nous ayons une once de pouvoir dessus. Ce sont les évènements que nous pouvons qualifier d’écrits. Quand un évènement est écrit, il n’y a rien qui pourrait l’empêcher. C’est alors qu’il est, soit lié au karma, soit lié à la destinée.

Enfin, le libre-arbitre s’effectue par la pensée, par les émotions et par les actions humaines.
L’être humain peut en effet choisir ses pensées, modifier ses émotions, et opter pour l’action qui lui paraît la plus judicieuse.

Pour cela, il s’agit d’abord de prendre conscience de ses pensées, de ses émotions et des conséquences de ses actions.
Cependant, l’être humain de la planète Terre, est très peu conscient dans son ensemble. Ce qui a pour effet de laisser une grande marge de manœuvre à l’inconscience, qui gère, elle-même, en grande partie la nécessité du point de vue humain.

L’être humain recherche donc nécessairement la nourriture, un nid douillet, et à Être.
Tandis que nous pouvons le voir en train de consommer, en train d’augmenter la sécurité, et en train de chercher à posséder.

Il s’agit d’un défaut dû à trop d’inconscience, car si l’être humain, était davantage conscient, dans son ensemble, il saurait qu’avoir n’est qu’un substitue pour le fait d’Être.

Nous ne pouvons donc pas agir à notre guise, mais nous suivons un chemin tracé par la nécessité, de par notre nature, et par la Providence, de par la position des étoiles.
Par la grâce de Dieu, nous avons la conscience qui nous permet d’apprécier notre libre-arbitre, qui se trouve avant tout dans le fait de choisir l’intensité de joie ou de peine que nous souhaitons vivre.

Si nous sommes moroses, cela ne devrait pas nous empêcher de mettre un sourire sur notre visage, au moins de temps en temps, comme pour se rappeler à soi-même que le fait de vivre et le fait d’Être, c’est déjà merveilleux.

Et si nous sommes en joie, alors, nous pouvons augmenter cette intensité de joie qui provient de l’intérieur et vibrer cette joie aux alentours.

En observant la Providence et la nécessité, nous pouvons nous rendre compte qu’elles suivent des lois. Les hermétiques les ont inscrites dans le Kybalion (livre écrit par 3 initiés à l’intention des étudiants).

Pour exemple, la maxime qui commence par : « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas… » fait référence au fait que tout est fractal même si tout paraît différent. Tout est pareil parce que Tout est Unique.
Comme un unique cri qui vient se projeter sur la Mer brumeuse et qui forment une réalité que nous apprécions par le biais de notre cerveau.

Et justement, notre cerveau n’est pas qu’un simple récepteur, il est aussi un émetteur.
Tout comme notre cœur et la région du ventre et du bas-ventre, incluant les organes internes et externes qui produisent également des vibrations.

La région du cerveau a tendance à l’analyse, et à rechercher des solutions. Ce qui peut être utile lorsque l’on se focalise sur un seul problème à la fois, et que nos intentions sont pour le bien de tous.
Dans le cas contraire, il est préférable de se mettre en état de concentration en focalisant sur le point situé entre les deux yeux, à la base des sourcils, point connu sous le nom de troisième œil. Une bonne concentration permet de faire cesser les émissions extérieures de notre cerveau.

La région du cœur n’émet pas de pensée mais elle vibre l’Amour, la plus puissante des énergies magnétiques de l’Univers. C’est la même énergie qui maintient les astres de la galaxie entre eux. C’est la même qui repousse deux pôles positifs entre eux, c’est la même qui fait les amis et les amours.

C’est une énergie qui émane de nous qu’en certaines occasions : soit nous sommes en train de prendre soin, soit nous sommes véritablement amoureux, soit nous sommes connectés au Divin, et notre chakra du cœur doit être ouvert.

Enfin, concernant la région du ventre, elle est liée à nos instincts. Subsistance, sexualité, satisfaction. Donc liée à la Terre.
Cependant, lorsque nous entendons une pensée dans notre cerveau qui dit : « J’ai faim ! », il s’agit de notre ventre qui s’exprime. D’ailleurs, si nous ne répondons pas à ses appels, il se met à grogner.

Ainsi, le ventre comme le cerveau, peuvent émettre des vibrations similaires. Tandis que le cœur ne vibre que de l’Amour, et n’use que du Verbe. La communication, l’Air, le vent, le signe, l’image, le symbole, l’écriture, le message, le rêve et l’imagination.

Romain Borlet

Accueil The Troble

Faire plaisir, c’est bien. Énerver autrui, c’est mal. Oui, mais si j’autorise mon enfant à manger le pot de pâte à tartiner pour lui faire plaisir, je risque, de consciemment, le rendre malade.

Donc faire plaisir n’est pas toujours synonyme de faire le bien. De même, qu’énerver autrui peut parfois être dû à un échange de signaux inconscients visant à apporter une prise de conscience, pour une amélioration globale.

Les notions de bien et de mal sont pareilles au signe du Ying et du Yang. Il est possible de trouver du mal dans le bien, mais également de la Lumière dans les ténèbres. Tout s’équilibre.

Nos actions ont des conséquences seulement il est difficile d’établir avec certitude le résultat de nos actions. Nous pouvons penser agir pour une bonne cause et obtenir de mauvais résultats. Nous pouvons penser agir correctement et nous planter totalement.

La meilleure méthode pour prévoir de bons résultats restent encore de vibrer de la joie, du bonheur, pour ses rêves, pour aider autrui, de vibrer des rires et des sourires, de vibrer l’Amour et d’être confiant et positif. Alors, nous sommes assurés de vivre des situations agréables.

Seulement, il convient de ne pas oublier, que l’Espace ne peut être sans le Temps. Ainsi les ondulations du Temps, nous font connaître les deux pôles : positif et négatif, alternativement.

Ce qui signifie que celui qui est en quête de bonheur, devra nécessairement passer par des périodes plus positives, et des périodes plus négatives. L’enchaînement constant des périodes permet une évolution, et d’un point de vue spirituel, il permet l’introspection, et de progresser à tâtons.

Le chemin vers plus de conscience peut être rude, lorsque l’on travaille sur ses œuvres.
Nous sommes confrontés à l’idée que nous nous faisons de ce que nous laisserons à la postérité. Aura-t-on laissé une œuvre bénéfique pour l’humanité et pour l’Unité ?

Mais pouvons nous prévoir les conséquences à long terme et à grande échelle ?
Cela reste difficile tout comme la divination.
L’Histoire de l’humanité est composée de guerres et de gloire. Quel est donc le plan Divin ?
Si un évènement a eu lieu, c’est nécessairement qu’il était inscrit dans le plan Divin. De notre point de vue humain, notre sensibilité peut être ébranlée, par ce fait. Seulement, il faut admettre que ce qui importe à la Divinité, ce n’est pas les moyens mais c’est la fin.
C’est parce que le début est ainsi et que la fin est ainsi, que tout le reste doit être ainsi.

Nous sommes donc confrontés à un monde bestiale dans lequel il s’agit de faire le bien, selon la définition que nous nous faisons du bien, qui diffère selon les individus, notamment, selon les coutumes.

Alors, nous nous tournons vers les enseignements qui nous ont été transmis : les 9 premières vibrations ; les qualités primordiales :
La Persévérance, la Sagesse, le Courage, la Justice, la Foi, la Tempérance, la Prudence, la Volonté, la Compassion, et l’Espérance.

Romain Borlet

---

Accueil The Troble

---

• La création de l’Univers résulte d’une unique vibration. C’est un fait bien connu des hermétiques, des cabalistes, des alchimistes, d’un certain nombre d’occultistes et de quelques scientifiques en avance sur leur temps. C’est aussi inscrit dans les enseignements des sociétés secrètes et lorsque le bouddhisme nous enseigne que l’Univers est similaire à une respiration, nous comprenons que l’on parle d’une vibration, enfin la théorie du Big-bang (qui reste une théorie) relate un début explosif donc nécessairement vibratoire.

Une vibration. Mais quelle vibration ? Les hermétiques, les cabalistes, et les alchimistes déclarent le savoir. Nous pouvons retrouver cette connaissance dans les enseignements réservés aux initiés de la religion hébraïque. Elle est retranscrite avec des lettres et admise comme un des noms de Dieu par les gardiens de la Cabale.

Ce nom, les hermétiques le connaissent sous sa forme nominale ; il est alors retranscrit par les Nombres.

Dans la Bible, tout comme dans le Coran, il s’agit du Verbe. D’autres traditions lui donnent différents noms, seulement, il s’agit toujours de designer la Vibration primordiale.

Que pouvons-nous dire sur l’instant précédant la Vibration primordiale ? Très peu de choses : Nous pouvons dire que l’Univers est inactif et que l’Espace et le Temps tels que nous les connaissons n’existent pas.
Nous pouvons dire qu’un fait inconnu a engendré une vibration qui a rendu l’Univers actif.
Rien de plus. Les différentes traditions enseignent que l’événement est dû à une volonté de Dieu et nous sommes incités à les croire par les forces de notre foi. Seulement aucune preuve autre que la force que nous pouvons ressentir en notre sein, depuis notre centre, et qui semble être l’émanation même de la vie, aucune preuve physique ne vient décrire ce qui précède la création de l’Univers .

Un événement inconnu engendre donc une vibration que nous sommes capables d’étudier car ce Nom de Dieu hébraïque, ou cette suite de Nombres connue des hermétiques ne sort pas de nulle part, ainsi nous pouvons trouver la mélodie de la Vibration primordiale dans toutes choses créées. Nous la retrouvons, par exemple, dans les cycles du temps ; comme avec les 4 saisons, ou comme dans le cycle à 4 temps : enfance, adolescence, âge adulte, vieillesse. Nous la trouvons également dans la géométrie Sacrée et elle permet de faire de très belles figures géométriques.

Nous pouvons inscrire la Vibration primordiale dans un diagramme et nous sommes alors épaté par sa régularité. Nous voyons l’Unité, sur une base à 4 temps, se muer en Trinité, puis en double de la Trinité, enfin, comme en miroir, apparaît la Trinité négative (par simple opposition au positif), alors l’Unité se mue et double à nouveau, mais d’un point de vu négatif.
La fin de l’équation signifie qu’elle se reproduit à nouveau et qu’elle est infinie.

Voici la manière hébraïque de nommer la Vibration primordiale : Yahvé.
Et voici la manière hermétique de designer la Vibration primordiale : 1.3.6.1.6.3.1.9.9.

D’un point de vue musical, nous pourrions dire que l’Univers reproduit toujours la même mélodie, mais à chaque fois, avec un changement d’une octave dans le ton.

La traduction exacte du terme : Verbe utilisé dans la Bible, signifie Logos à partir du Grec ancien. Le terme Logos a plusieurs significations et veut dire : Verbe, parler, communiquer, et par extension, c’est un dessin servant à identifier une organisation.

Lorsque nous regardons attentivement le tracé de la Vibration primordiale, nous constatons qu’elle ressemble étonnement au tracé du battement d’un cœur.

De toute évidence, tout commence par une pulsation très régulière, suivit de près par une autre pulsation, tout aussi régulière.

Nous sommes obligés de nous demander ce qui produit cette pulsation qui semble se reproduire à l’infini et qui se retrouve dans tout. Et le plus logique, nous incite à chercher l’origine de la pulsation au centre de l’Univers, où tout a commencé. Nous désignons également le centre, par le terme de cœur.

Une pulsation qui viendrait d’un cœur, cela paraît des plus probables. Et si nous nous demandons à qui appartient ce cœur ? La seule réponse possible est qu’il s’agit du cœur de l’Univers.

Nombreux sont ceux qui pensent que l’Univers est un Être vivant et toutes ces informations semblent indiquer qu’ils ont raison.

Seulement, cette révélation pose de nouvelles questions, à savoir : qu’est-ce qui a engendré la Vibration primordiale ? En effet, si la Vibration primordiale est bien le battement d’un cœur, nous devons nous demander : comment notre propre cœur s’est-il déclencher pour battre d’une manière qui semble infinie ? En répondant à cette question, nous pourrons répondre à la question concernant le déclenchement du cœur de l’Univers , et du même coup, répondre à la question concernant la création de l’Univers.

Les hermétiques répondent qu’il s’agit de la force de vie, une substance éthérique qui est à l’origine de l’éclosion des fleurs et de la germination des graines et qui se trouve dans le prãna ou dans l’oxygène, notamment.

Afin de ne froisser personne, nous pourrions dire que la force de vie est l’instrument de Dieu, mais cela serait subjectif. Nous pouvons seulement dire que la force de vie est l’instrument de la Vie car nous ne pouvons désigner Dieu.

Il serait raisonnable de dire, comme dans certaines traditions, que tout émane d’un œuf ou bien d’une graine et que c’est un évènement interne par la puissance de la force de vie qui a provoqué un fabuleux enchaînement d’événements que nous désignons comme la création de l’Univers.

Et cela n’entame en rien notre foi, car nous percevons dans l’Univers tout en entier, l’incarnation de Dieu.

Romain Borlet

---

Accueil The Troble

Que suis-je venu faire sur Terre ?

La question mérite d’être posée. Quant à la réponse, je ne l’ai pas trouvé parmi les propositions.

En effet, j’ai bien du mal à croire que je suis venu ici pour aimer l’humanité… Cette proposition paraît même insensée.

Comment Dieu peut-il imaginer que je vais finir par tous les aimer en m’infligeant des souffrances ?

Je ne peux connaître la Lumière sans avoir vu les ténèbres… D’accord ! Mais la haine et la peur ne m’ont jamais donné une once d’Amour !

De quoi suis-je donc “puni” pour mériter un tel karma ?

Est-ce parce que j’ai pris la femme d’un autre lorsque j’étais chinois ? Mais je suis mort empoisonné dans cette histoire !!! Pourquoi payer encore ?

Est-ce que c’est parce que je me suis enfui devant les colons lorsque j’étais Africain, abandonnant mon village ?
Mais mon peuple fût réduit en esclavage, tandis que je mourais pourchassé dans la brousse !!!

Est-ce, parce que je n’ai pas su protéger ma tribu lorsque j’étais chaman ?
Mais qui a envoyé ces hommes blancs vers nos terres, avec ces maladies qui nous ont décimé ?

Nous les croyons venus du Ciel, alors qu’il s’agissait plutôt de démons des Enfers !!!

Et aujourd’hui, nouvelle incarnation et voilà que je suis ce “blanc” aux yeux à moitié bridés, à la peau un peu trop bronzé et aux connaissances chamaniques… Et voilà que je subis à nouveau des souffrances déraisonnables… Mais à cause de qui ? À cause de quoi ?

À cause de l’humanité ! À cause de Dieu ! À cause de moi !

Alors pourquoi devrais-je aimer l’humanité ?
Alors pourquoi devrais-je adorer Dieu ?
Alors pourquoi devrais-je m’accorder une once d’Amour ?

Lorsque je me demande : c’est quoi le Paradis ? La réponse vient instantanément : observer la Nature !
Et c’est quoi l’Enfer ? Réponse évidente : ajouter des êtres humains !

Il y a des évidences et je ne peux que m’y référer :
Lorsque je demande à mon ventre : que dois-je faire maintenant ? Il répond : il faut les faire payer !

Lorsque je pose la même question à ma tête, elle répond : si le paradis est dans l’inertie, alors il n’y a rien à faire, et si la vie, c’est le mouvement, alors marche !

Enfin, lorsque je pose la question à mon âme, elle se contente de pleurer !

L’inertie me rapproche du Divin, c’est vrai, seulement, pourquoi m’être incarné si il s’agit juste de retrouver mon état originel ? Si j’avais souhaité rester l’Esprit, je ne me serais pas incarné…

La vie se trouve dans le mouvement, c’est vrai, seulement la vie est éphémère, et une accumulation d’expériences et de connaissances a-t-il vraiment un sens ?
D’une vie à l’autre, ma conscience s’expand, et je deviens seulement de plus en plus conscient de la souffrance que l’humanité s’inflige à elle-même !

La roue tourne mais les dés semblent pipés ! L’Univers est une mélodie, toujours la même, qui se reproduit à l’infini, et quelle mélodie ? Cette mélodie semble issue d’un cri qui voudrait dire : “Mais moi je t’aime ! Pourquoi toi, tu ne m’aimes pas ? Lorsque je te donne de l’Amour, tu m’ignore ! Et lorsque je te fais souffrir, tu te souviens de moi…”

Cela est si humain, et pourtant cela se retrouve en toute chose… Le magnétisme, l’électricité, la mécanique des corps, etc, tout ce qui est dans l’Univers, et tout ce qui nous constitue semble répéter la même chose : “Je t’aime, moi non plus…”

Alors que suis-je venu faire sur Terre ? Rappeler à l’humanité qu’elle est issue de l’Amour ? Cela n’aurait aucun sens si je ne rappelais pas aussi que l’Univers est construit sur la dualité, et que l’Amour qui le constitue à un pôle positif et un pôle négatif !

La peur est une sensation d’Amour négatif, tandis que la joie, c’est la même sensation ressenti d’un point de vue positif.

Mon ventre n’aime pas, mon cœur aime et ma tête doit décider lequel choisir…

Tout être spirituel préconise l’Amour mais nul n’a jamais vraiment expliqué pourquoi… Tandis que la vie semble avoir choisi la souffrance pour communiquer le message Divin. Souffrir pour un jour avoir la capacité d’aimer ? N’est-ce pas, là, la plus grande bêtise de Dieu ?

Durant mes différentes incarnations, j’ai cru aimer et à chaque fois, j’en suis mort !

Celui qui n’a pas souffert aura bien du mal à reconnaître ce qu’est l’Amour, tandis que celui qui a souffert aura bien du mal à trouver une bonne raison d’aimer…

L’humanité est insensée, tout comme l’Univers et tout comme Dieu !

À travers l’histoire, l’être humain s’est souvent demandé la raison de sa présence sur cette planète… Certains ont émis l’hypothèse qu’il s’agissait d’un purgatoire et on serait tenté de les croire, et d’autres se sont contentés de dire qu’il fallait simplement profiter de l’instant, profiter de la vie, mais cela n’ont certainement pas les questions que j’ai dans la tête.

Dieu s’est endormi à l’instant même où l’Univers s’est réveillé.
Il a alors transmis son pouvoir créateur, puis au fil d’une longue évolution son pouvoir créateur s’est transmis d’une manière ou d’une autre, d’entité en entité jusqu’à l’être humain…

En tant qu’être humain, je possède donc ce pouvoir mais comment pourrais-je faire mieux que Dieu ?

Romain Borlet

---

Accueil The Troble

Philosophie et spiritualité

Le philosophe se pose des questions, s’interroge sur le monde et sur lui-même. De même que la personne dans une démarche spirituelle qui a ses interrogations et qui cherche à retirer les voiles qui forment ses illusions.

La différence fondamentale entre le philosophe et l’être spirituel est que le philosophe part d’une base en rapport avec ses croyances et pose la question de ce point de vue. Alors que l’être spirituel remet en question même sa croyance, et se dépouille peu à peu de ses idées superflues.

Cela dit, de nombreux philosophes ont débuté par un éveil spirituel. Ce qui nous offre quelques belles œuvres de philosophie qui traitent de spiritualité.

L’allégorie de la caverne de Platon est un bon exemple. Cette histoire ne parle que de l’éveil spirituel et des différents stades de l’éveil. Du fond de la grotte, où chacun vit au sein d’une illusions communes, et de ses illusions individuelles, jusqu’au lumineux Soleil, le chemin est parfois pénible mais nul ne voudrait revenir en arrière. Un message retransmit depuis des millénaires et qui nous livre un sens pour l’évolution. Des ténèbres vers la Lumière, nous nous animons et quoi qu’en pense nos états d’âme, nous avançons toujours dans la bonne direction.

Comme l’être spirituel, le philosophe cherche des réponses, et il les trouve dans les choses subtiles, au-delà du plan matériel.
Ainsi, Socrate disserte sur le monde des idées, et ainsi Pythagore explique l’Univers en étudiant les Nombres et la musique.

Nous leurs donnons totalement raison, puisque nous avons connaissance de l’état vibratoire des différents plans d’existence, le monde des idées, tout comme les mondes matériel et astral. Une vibration émet une fréquence et chaque fréquence vibratoire est associée à une forme. De même, la fréquence vibratoire est associée à un Nombre dans une graduation. Chaque Nombre correspond donc à une forme.
Quant à la musique, elle exprime les proportions parfaites, associées au Nombre d’or, au travers de la gamme des notes du Solfège.
Nous voyons qu’il fallut être fort éclairé, en des temps reculés, pour exprimer certaines des lois fondamentales de l’Univers par l’étude de la musique et celle des Nombres.

Lorsque Nietzsche nous conte l’histoire de Zarathoustra, le surhomme, le surhumain, n’est autre qu’un être bien éveillé, qui joue la carte de l’Hermite, car il constate que le peuple n’est pas prêt à entendre ce qu’il pourrait enseigner.
Finalement, Zarathoustra se résigne presque à transmettre le message à quelques courageux.
Le message, c’est qu’il existe une force caché en tout être humain, qu’il est possible de l’éveiller, pour paraître tel un surhomme, un surhumain, un être éclairé.

Dans l’ensemble, Nietzsche est très mal compris et ainsi parlait Zarathoustra, son chef d’œuvre, est souvent trop dénigré. Pourtant, le sens profond de ces écrits est sans équivoque.
Spinoza explore le monde métaphysique d’une manière intéressante, d’un point de vue spirituel, et il s’agit du philosophe qui a développé le concept de dignité humaine, et qui l’a expliqué pour le bien de l’humanité. Pour Spinoza, l’accomplissement de l’être humain passe par le bonheur.

Quant aux philosophes orientaux, ils sont bien souvent considérés comme des entités spirituelles. Lao Tseu enseigne sur le thème de l’Univers à travers le concept du Tao, tandis que Confucius enseigne sur les manières pour vivre mieux répondant à nos questions existentielles : Où suis-je ? Et que faire ? Qu’est-ce que l’Univers ? Et que dois-je faire pour vivre heureux ?

Il y a de la spiritualité en toute chose, cela dépend surtout de notre manière d’aborder la chose en question. Seulement, la philosophie peut être comme un chemin qui mène à la spiritualité. Elle est comme une porte d’accès qui peut ouvrir bien des esprits, et provoquer des prises de consciences.

Tandis que l’un philosophe, l’autre médite, et c’est parfois la même chose. Le premier pense souvent, cherchant à confronter ses idées, tandis que le second, cesse de penser pour se mettre en état de concentration. Seulement, il existe différentes méthodes de méditation, et certaines se rapprochent du fait de philosopher. Lorsqu’il s’agit de méditer sur une idée précise, plutôt que sur un objet, l’être spirituel peut se faire philosophe en puisant à la Source.

La philosophie est donc intéressante à étudier, tout au long d’un chemin d’éveil. Il est à noter qu’il existe des contes philosophiques, facile à lire, ayant un intérêt pour la personne qui souhaite débuter un chemin spirituel, comme Candide de Voltaire, ou encore L’alchimiste de Paolo Coelho.

La philosophie pose les questions. La spiritualité enseigne que c’est à soi-même de trouver les réponses. Nous sommes des êtres spirituels qui expérimentons la vie humaine, nous sommes forcé de nous poser un jour la question : qui suis-je ? Et même si la réponse paraît matérielle, certains voient au-delà, décrivent une âme, honorent l’Esprit. Ceux-là partent bien souvent en quête d’éveil spirituel.

---

Accueil The Troble

Nous commençons par naître, en tant qu’être humain, pour découvrir notre environnement immédiat puis au fil de nos expériences, nous acquérons la conscience de soi au cours d’un processus souvent long et douloureux.

Nous parcourons un chemin qui nous est propre, durant lequel nous passons par l’enfance, parfois traumatisante, avec ses joies et ses peurs, par l’adolescence, qui nous marque par ses premières fois, par ce premier amour, et par ces interdits franchis, puis nous devenons adulte, censé être responsable, devant la loi, envers la famille, censé travailler pour notre pays, afin de faire prospérer l’entité qu’il représente.

Enfin, nous murissons doucement, au rythme de nos expériences et de nos prises de conscience. Nous expérimentons par nos paroles et par nos gestes, mais aussi par nos pensées et nos croyances, des évènements qui nous reviennent comme dans un écho, et nous finissons par faire preuve de sagesse. Ainsi, nous choisissons d’opter pour une meilleure stratégie face à une situation, afin de rendre l’expérience plus agréable.

Ce processus n’est pas dû au hasard, il est l’œuvre de la machine que nous pilotons, une machine a atteindre des buts. Cette machine est composé d’un corps physique, par ce que nous en percevons, lui-même doté d’un cerveau et d’un système nerveux.

Le tout est relié à l’Esprit, ce qui produit la conscience que nous percevons et le subconscient, similaire à un outil permettant d’effectuer une passerelle entre la conscience et l’environnement.

La conscience, c’est ce que nous percevons de nous-même. C’est le fait de savoir que nous sommes. C’est le fait de se reconnaître dans le miroir, mais aussi de savoir se regarder dans le miroir afin de faire preuve d’introspection. La conscience a également une valeur morale, qui érige la vertu au sommet de la connaissance.

Le subconscient, c’est l’intelligence de la machine, qui est programmée pour faire fonctionner le corps de manière autonome vis-à-vis de la conscience. C’est ainsi que le subconscient gère nos systèmes respiratoire et vasculaire 24h/24, nous permettant de mettre notre conscience en veille durant les périodes de sommeil.

Le subconscient utilise de grandes zones de notre cerveau, et est également l’utilisateur principal de notre système nerveux.

En effet, le subconscient est l’instigateur de la plupart de nos gestes quotidiens et cela se poursuit jusqu’à notre prochaine prise de conscience qui nous éclaire un peu plus, et nous incite à rectifier nos comportements et nos modes de vie.

Le subconscient a pour fonction de répondre à des besoins. De la même manière qu’il répond à nos besoins vitaux, notre subconscient répond également à nos désirs, à nos rêves, à nos envies, à nos croyances, à nos peurs et à notre imagination.

Le problème, c’est que si nous croyons ne pas pouvoir accéder à nos désirs, alors, nous expérimentons des situations dans lesquelles nous nous confirmons que nous ne pouvons pas accéder à nos désirs. Alors, qu’il convient de croire, au préalable, que nous allons obtenir ce que nous désirons, pour enfin expérimenter la situation souhaitée.

Le subconscient a tendance à fonctionner de manière autonome, dès lors que nous ne lui octroyons pas un objectif.
Le subconscient répond à l’objectif que nous lui attribuons, tandis que la situation que nous expérimentons dépend de nos croyances, de nos peurs et de notre foi, vis-à-vis du but à atteindre.

La conscience a pour mission principale de déterminer le chemin que nous souhaitons emprunter par le biais de notre volonté. Pour ce faire, elle procure des objectifs au subconscient. Avoir des objectifs est nécessaire pour piloter de manière adéquate notre subconscient. Et c’est au subconscient que revient la charge de nous mettre dans des situations qui permettent la réalisation de nos buts.

Pour récapituler, disons qu’il y a, nous, la conscience, censée être aux commandes de la machine, corps, par le biais du subconscient et c’est à nous de déterminer les objectifs que nous souhaitons accomplir en tant qu’être humain. Le subconscient, intelligence de la machine, prend alors le relais, et utilise les ressources de notre cerveau et de notre système nerveux, pour nous faire vivre ce que nous croyons vis-à-vis de nos objectifs.

Ces informations prises en compte, nous devons commencer par travailler sur nos désirs, sur nos rêves, sur nos envies, sur nos croyances, sur nos peurs et sur notre imagination.

Pour ce faire, prenons un exemple : nous souhaitons aller à la mer pour les vacances, mais nous résidons loin de la côte, nous n’avons pas de moyen de locomotion, et trop peu d’argent pour financer le voyage.

Nous voyons dans cet exemple que nous avons effectivement un objectif (aller à la mer), seulement notre croyance que cela puisse se produire est très faible, car nous argumentons de manière négative sur nos possibilités de voyage. Dans le cas présent, il nous faudra travailler sur notre foi que cela peut se produire et sur notre confiance en l’Univers et en nous-même.

En effet, l’Univers a la possibilité de nous faire gagner le voyage, de nous faire rencontrer la bonne personne qui sera heureuse de nous conduire, ou encore de nous mettre devant les yeux une promotion qui nous permet de réaliser notre désir, mais nous l’ignorons. Nous n’avons que des informations conscientes à notre disposition. Le subconscient, traite quant à lui, les informations que nous percevons de manière consciente et de manière inconsciente. Ce qui signifie que notre subconscient perçoit un nombre phénoménal de données que notre conscience ignore.

Notre subconscient est chargé de traiter les données d’un problème afin de faire émerger une solution à la conscience. Dans le cas présent, notre subconscient aura tendance a exploré des expériences dans lesquelles l’impossibilité de partir prévaut car c’est bien cela qui domine notre imagination dans l’exemple donné.

Et justement, l’imagination fonctionne par association. La vibration d’un concept attire d’autres vibrations similaires.

Nos chances d’aller à la mer sont nulles car nous cogitons sur le fait que cela ne peut pas se produire.

Mais qu’est-ce qui provoque ces manières négatives de penser au sujet d’une situation futur ? Dans le futur, tout est possible. Le fait est que ces réactions du mental sont dû à la peur.

Quel est donc cette peur ? Peur de quitter notre zone de confort ? Peur de l’imprévu ? Il nous faudra commencer le travail ici. Découvrir quelle est notre peur et la surmonter.

Le moyen le plus efficace pour cela est de vivre notre peur en conscience. C’est-à-dire de s’y préparer préalablement, comme face à un défi à relever. Il convient d’y être prêt mentalement, et d’aller au devant de notre peur, mais en abordant la situation en tant qu’observateur. Il s’agit de rester le spectateur de se qui se passe, intérieurement, en nous.

Notre mental aura tendance à formuler des objections, mais elles ne sont que de nouvelles expressions de la peur. Il s’agit de l’écouter sans lui apporter de crédit, et de revenir à notre motivation première, celle qui nous pousse à nous transformer.

Pour atténuer nos craintes nous pouvons également utiliser la pensée positive et l’imagination créatrice.

En effet, notre imagination tient pour une grande part dans la création des situations que nous expérimentons. C’est pourquoi, il est très utile de s’entraîner à imaginer des évènements positifs, où la situation tourne à notre avantage. D’imaginer des situations où nous réalisons ce que nous souhaitons, et que tout se passe merveilleusement bien.

Ressentir la joie, ou des émotions positives durant nos créations imaginaires augmentent considérablement l’impact positif que cela produit sur notre réalité.

Nous pouvons accomplir ce que nous souhaitons, nos rêves et nos désirs, et si cela ne se produit pas, alors, il s’agit de modifier quelque chose, de changer notre manière d’aborder la situation.

Persévérance et volonté sont les mots clefs qu’il nous faut explorer.

Romain Borlet

Accueil The Troble

Article philosophique sur les origines de l’impression du manque. Une sensation qui paraît être un manque ; mais qu’est-ce que c’est ? D’où vient-elle ? Cet article explore les possibilités, en abordant la question d’un point de vue spirituel. Les éléments apportés vous troubleront… Ouvrez votre esprit et envisagez les choses autrement.

De l’impression du manque

Nous avons tous expérimenté une impression de manque à un moment donné de notre vie, certaines personnes davantage que d’autres, mais cette impression de manque semble être une constante de la vie.

Même la Nature a horreur du vide, et cherche toujours à le combler en se propageant dans toutes les directions.

Nous pouvons ressentir le manque d’objets matériels, ou le manque d’Amour, par exemple.

Nous recherchons, alors, à combler cette impression de manque, par l’accumulation d’objets, ou par la recherche de partenaires, ou simplement par la recherche d’une présence auprès de soi, mais cela peut également se traduire par la prise de drogue, la prise de risques, la fuite, et de bien d’autres manières.

L’explication des psychothérapeutes est que nous sommes en recherche constante de ce sein nourricier remontant à l’époque de nos premiers jours, mais l’explication n’est pas suffisante car le nouveau-né cherche déjà à combler cette impression de manque avant même d’avoir bénéficié de son premier repas.

Le psychothérapeute cherchera, donc, certainement à expliquer la chose en argumentant sur le fait que nous avons été arraché au sein de la mère, au moment de notre naissance, et que cet épisode traumatisant est à l’origine de nos tourments…

Seulement, dans la vie, rien n’est dû au hasard, et la biologie n’est faite que de phénomènes qui singent d’autres phénomènes antérieures à la vie, telle que nous la connaissons.

Avant même l’éclosion de la vie, les énergies se sont comportées de la même manière, s’attirant et se repoussant, se divisant et se densifiant, pour recommencer le même cycle à l’infini.

Ce qui montre que ce n’est pas dans la biologie qu’il faut rechercher la cause première de l’impression du manque, mais il convient d’aller chercher à l’origine de toute chose.

Nous entrons donc dans une recherche métaphysique, et non plus physique…

Peu importe, le nom que nous pouvons lui donner, Dieu, est son nom générique même si il est galvaudé, alors, j’utilise ce mot. Chacun pourra remplacer le terme par celui qui lui convient.

Il faut malheureusement se poser la question à laquelle nul n’a jamais répondu pour expliquer l’origine de la sensation de manque et c’est certainement la raison pour laquelle peu sont ceux qui ont su se débarrasser de cette sensation.

La question est : pourquoi Dieu a-t-il créé l’Univers ?

Oui, je sais… La question fait peur… Seulement, elle peut trouver une réponse qui explique beaucoup de choses.

Partons de l’origine : Dieu est tout ce qui existe, et peu importe, si Il a toujours été conscient ou si Il est devenu conscient de Lui-même par un quelconque processus, mais de toute évidence Dieu est conscient.

Dieu est conscient de Lui-même, et également conscient de ses propres capacités, mais il se trouve qu’Il est seul.

Sa propre Conscience, le mène à se questionner (même si Il n’utilise pas le mental que nous utilisons pour se faire), et par Ses questions, Il en vient à se demander à quoi Lui sert de pouvoir tout faire, si il n’y a personne d’autre pour le voir accomplir Son Œuvre.

Dieu sait qu’il peut diviser Sa Conscience et qu’elle restera toujours égale à elle-même, c’est-à-dire Unité.

Seulement Dieu a un amour pour la Vérité, pour les choses vraies, et plus encore, pour la justesse du regard de l’être qui pourrait être le critique de Son Œuvre, de Son pouvoir, et de Son Être.

Toute l’Œuvre de Dieu reflète le fait qu’Il avait un désir profond de reconnaissance pour ce qu’Il est, au moment de Sa Création.

Dieu voulait montrer l’étendue de Ses pouvoirs et être reconnu à Sa juste valeur. C’est la raison pour laquelle Il nous a créé.

Seulement, pour être reconnu avec justice, Il ne pouvait se permettre d’obliger les louanges à son égard, car cela aurait incité même les faux croyants, à s’agenouiller devant Lui. Il fallait que, seul, celui qui reconnaissait l’Œuvre de Dieu, puisse louer la Divinité en toute sincérité.

Alors Dieu donna la mission à Mère Nature d’engendrer l’Œuvre qu’Il avait apprécié.

La Nature suivant les indications de Dieu, étant inscrites sous forme de codes, et de lois fondamentales, dans chaque particule de toutes choses au sein de l’Univers, Mère Nature, forma les mondes du vivant, et en pris soin, pour les faire évoluer, chacun selon sa vibration.

---

Pour accéder au menu principal de The Troble : Accueil The Troble

•••

Partons du centre d’un cercle, mettons-y un point. Et voici Dieu prêt à créer.
Où se trouve-t-il ? Nulle part car l’Espace et le Temps n’existent pas encore.

Le souci principal que nous avons pour expliquer Dieu, c’est que nous ne savons nous référer qu’à un univers spatio-temporelle, or Dieu ne dépend ni du temps, ni de l’espace.

Si vous venez me demander où est Dieu, aujourd’hui ? Je vous répondrai : Il est au centre, et Il est partout.
Ce qui n’aura peut-être pas de sens pour vous et c’est compréhensible.

Pour vous aider à appréhender la chose, je pourrais vous expliquer que Dieu se trouve au centre de chaque particule de l’Univers, simultanément.

Mais un esprit scientifique se mettrait à chercher parmi les quarks et bosons, les photons, les électrons ou les neutrinos et chercherait à les fragmenter davantage sans chercher à comprendre le sens de mon explication.

Alors je devrais lui désigner le mini trou noir qu’il n’a pas vu au centre de la particule en lui disant : “là !”

Seulement, lui, se contenterait de dire :
“quoi ? Où il n’y a rien ?”

Mon explication est juste mais elle ne peut être appréhendée par tous, alors, je me dois de trouver un autre moyen d’expliquer.

Lao Tseu a défini le Tao en expliquant tout ce qu’il n’est pas et c’est, en effet, un moyen ingénieux d’argumenter sur Dieu, seulement, je souhaite expliquer ce que Dieu est réellement…

Afin que cela soit compréhensible par tous, je dois me référer à quelque chose que nous avons tous expérimenté mais sans me référer au monde spatio-temporelle que nous connaissons car il s’agit seulement de la Création, et Dieu était nécessairement avant, et sera nécessairement après.

Nous ne pouvons donc nous référer qu’à une seule chose : la conscience.

La conscience est impalpable et pourtant nous avons tous cette forte impression d’être…

La conscience est ce qui nous fait le plus ressembler à Dieu.

Mon explication est encore juste seulement on viendra m’opposer que toute chose n’est pas consciente alors que je prétends que Dieu est au centre de toute chose…

Je pourrais répondre que c’est juste mais que toute chose à la possibilité de devenir conscient, et l’on aurait bien du mal à me croire sur parole… Alors, je devrais expliquer la chose différemment :

Au début de la Création, au début de l’Univers, il y avait Dieu ou la Conscience, et il y avait l’Éther, que l’on appelle aussi l’Espace, mais ce n’est pas l’espace que nous connaissons aujourd’hui ; il s’agit d’un Espace fait de matière très subtile, et c’est la raison pour laquelle nous le nommons Éther, ou encore la Mer primordiale…

La Conscience, sur décision d’elle-même, a fusionné avec l’Éther, faisant totalement corps avec.
Par ce processus, cela a entraîné une première densification de la matière subtile, créant ainsi l’Âme de l’Univers.

L’Âme de l’Univers, c’est donc l’Éther Conscient.

J’ai volontairement ignoré la polarité des énergies qui explique la chose de manière scientifique car je ne cherche qu’à expliquer Dieu, et non pas la dualité universelle.

L’Éther a poursuivi sa densification, donnant naissance à divers états de matières subtiles, et toute chose dans l’Univers est composé de chacun de ces états de matières subtiles jusqu’à la matière plus dense que nous nommons matière physique. Pour les chercheurs, chacun de ces états de matières subtiles se trouvent être décrit par les philosophies orientales, notamment, à travers les différents corps de l’être humain.

L’Éther se trouve donc partout. Et la Conscience de Dieu se trouve dans chaque particule de l’Éther subtil et moins subtil.

La conscience que nous expérimentons est forcément la même que la Conscience originelle si ce n’est que nos croyances nous limitent comparativement à Dieu.

Romain Borlet

---

Accueil The Troble

À l’heure où il est de plus en plus difficile de trouver de l’information vérifiée et véridique, The Troble Investigation vient vous informer sur les sujets les plus troublants qui circulent au sein du monde des idées.

Les journalistes écrivant pour le journal The Troble Investigation sont des amateurs éclairés et passionnés, qui fréquentèrent jadis la fac, et qui poursuivent, aujourd’hui une quête pour la vérité.

Nous connaissons un monde dans lequel la censure est exponentielle, alors que nous, nous avons des compétences pour livrer de vraies informations, cela parce que nous recherchons, en premier lieu, la vérité pour nous-mêmes et que nous savons la retranscrire.

Si cela nous sert à mieux appréhender le monde, alors, cela peut vous servir aussi. Et c’est ainsi que The Troble Investigation a vu le jour.

Le concept que nous avons choisi autour de ce qui nous trouble vient du fait que lorsque nous trouvons quelques choses de troublants, c’est notre âme qui nous dit qu’elle aimerait bien que nous sachions davantage sur ce sujet.

L’élévation générale de la conscience des êtres humains est bénéfique, et la compréhension du monde y contribue. Et c’est ainsi que The Troble Investigation est né.

Nous aborderons donc des sujets troublants, mais qu’est-ce qui vous trouble ? Nous répondons : les sujets liés à la spiritualité, à la magie, les mystères, comme l’énigme du Sphinx, ou encore la structure des religions et leurs messages, la mythologie. Nous souhaitons vous entretenir de sujets liés aux sociétés secrètes, mais aussi des articles sur les fleurs comestibles, ou encore sur la phytothérapie, l’aromathérapie, le Tarot, la parapsychologie, les différents corps de l’être humain, les chakras, le magnétisme, les chamans, les médecines alternatives, le Cosmos, le fonctionnement de la Terre, et de nombreux autres sujets, que vous pouvez découvrir en explorant le site thetroble.com

La langue parle, la main retranscrit. Le langage a ses particularités pour chaque peuple, pour chaque localité, il est donc intéressant de l’étudier, c’est pourquoi, vous trouverez également sur The Troble Investigation des articles sur l’origine des mots, sur le langage en général.

Nous vous réservons bien entendu des surprises, et c’est ainsi que vous pourrez trouver sur The Troble Investigation une section dédiée à la poésie spirituelle, ce langage troublant qui semble inspiré.

Pour nous aider à nous développer,

Vous pouvez soutenir The Troble Investigation en effectuant un don ponctuel ou un don mensuel.

Merci pour votre intérêt et votre participation.

Vous pouvez également écrire pour le journal, pour cela, envoyez-nous vos articles et poésies spirituelles, à l’adresse suivante :

romain@thetroble.com

---

Pour écrire pour le journal veuillez présenter votre candidature à notre rédacteur en chef, Romain Borlet, par mail, à l’adresse suivante :

---